Solidaires des femmes d’ici et d’ailleurs

A l’occasion de la journée internationale des femmes, les colistières de la liste « Auch nous rassemble » ont rencontré les auscitaines au Café Gascon chez Georges Nosella, ce samedi 8 mars à 18H, en présence de Franck Montaugé et de Fatma ADDA, conseillère régionale EELV.
Venues de différents quartiers de la ville, et de tout âge, elles étaient une quinzaine au RDV pour échanger sur la condition des femmes et leurs droits autour d’un verre.
Les participants ont pu dialoguer sur la question des violences psychologiques dans les couples suite à la projection du court métrage belge, Fred et Marie.
Les interventions étaient très riches, chacune donnant son ressenti sur la situation mise en image, des solutions pour en sortir, des actions de prévention et de sensibilisation à mettre en œuvre.
Pour finir, Franck Montaugé aura apporté son éclairage sur le récent texte de loi qu’il vient tout juste de voter à l’Assemblée nationale, visant l’égalité réelle entre les femmes et les hommes. Congé parental, violences conjugales, parité dans les instances politiques, égalité professionnelle, éducation, cette loi permet des avancées concrètes en matière de droit législatif.
C’est sur cette note positive et dans une atmosphère bienveillante que s’est achevé ce moment consacré aux femmes.

Nadia et Bénédicte, candidates EELV sur la liste « Auch nous rassemble » conduite par Franck Montaugé
www.franckmontauge2014.fr

Un commentaire pour “Solidaires des femmes d’ici et d’ailleurs”

  1. La violence envers les femmes existe, tout comme envers les hommes ! mais n’oublions pas, qu’elle est dominante en ce qui concerne les femmes ; pour la bonne raison que l’égalité « dans la société »,n’est pas encore très claire. Il n’y a pas si longtemps, la femme devait obéir à son mari ; elle devait demander l’autorisation à son mari, pour ouvrir un compte, travailler en dehors du foyer, etc… ! et si l’on remonte en arrière, alors n’en parlons pas ! ( la femme n’avait pas d’âme…j’en passe !)
    L’égalité, en fait, dépend de l’équité des droits. La femme Occitane avait le droit d’aînesse, et d’autres droits dont il faudrait connaître l’existence, je crois ! et l’on s’apercevrait, peut-être que la violence disparaît selon l’égalité des droits ! Une société non violente pourra naître par le biais de la mixité, l’intégration, la liberté d’expression, la tolérance, l’échange, la réhabilitation des langues et de la culture régionale, le respect et la diversité culturelle.

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